Les chansons tristes sont une chose bien étrange. Il y a celles qui vous entraînent droit dans l'enfer de la mélancolie voire de la dépression, ces chansons qui s'insinuent plus ou moins lentement dans votre tête pour vous conduire droit dans ce cercle vicieux de la tristesse. Et il y a celles, sombres, noires qui réussissent, je ne sais comment, à vous sortir des tréfonds de la brume qui obscurcit votre âme.
Les chansons de la jeune Mirel Wagner sont de celles-là. Née en Ethiopie mais élevée en Finlande, cette jeune fille de 23 ans compose un folk/blues dépouillé jusqu'à l'os. Une guitare sèche. Une voix magnifique. Voilà tout ce dont elle a besoin pour raconter ces histoires de mort et de désir.
Alors, quand j'écoute la douleur inondant son premier album éponyme, je repense au blues boueux et gothique de Emily Jane White mais je repense surtout à la poésie lumineuse de Leonard Cohen.
Certaines chansons tristes ont ce pouvoir.
Les chansons de la jeune Mirel Wagner sont de celles-là. Née en Ethiopie mais élevée en Finlande, cette jeune fille de 23 ans compose un folk/blues dépouillé jusqu'à l'os. Une guitare sèche. Une voix magnifique. Voilà tout ce dont elle a besoin pour raconter ces histoires de mort et de désir.
Alors, quand j'écoute la douleur inondant son premier album éponyme, je repense au blues boueux et gothique de Emily Jane White mais je repense surtout à la poésie lumineuse de Leonard Cohen.
Certaines chansons tristes ont ce pouvoir.
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