Mes premières vraies vacances en 10 ans... Ouais Ouais ! Mais j'essaye de vous tenir au courant les amis : je vais essayer de poster pendant mon road trip californien de deux semaines... See You in L.A !
13 mai 2011
09 mai 2011
Mixtape #4 : Sweet Sad Feeling
Est-ce qu'il faut vraiment que ça m'arrive ? Les arbres se remplument et mon coeur lâche. Ça faisait longtemps. Vraiment très longtemps.
Je ne me laisse jamais avoir par les jolis yeux, les visages symétriques, les corps minces ou voluptueux, ce qui est censé rendre une personne "belle" dans un monde de papier glacé, ce qui est censé rendre mon coeur tout mou. Je les regarde, ça m'intéresse (forcément) mais ils ne représentent qu'une petite partie de l'équation. Ces "jolies filles", j'en croise (comme tout le monde) des centaines par jour et j'en fais pas tout un plat. Je ne crois pas au coup de foudre. L'équation serait plus facile à résoudre dans ces cas-là et mon coeur lâcherait plus souvent. A 15 ans, j'avais envie d'y croire mais à 30 ça deviendrait franchement pathétique. (Déjà, là...) La beauté n'est pas une question de visage symétrique...
Ce qui compte, c'est la vie intérieure, la façon de penser, la façon de parler, ces petites mimiques, ces regards, ces gestes qui font une personne. Ce qui compte, ce sont toutes ces choses, petites et grandes, qui vous font penser, comme ça, rapidement ou non, que cette fille, en face de vous, est différente des autres. A ce moment là, ce n'est pas vos yeux ou vos couilles qui ressentent, c'est votre coeur et votre cerveau. A ce moment là (et après), c'est à eux que je donne mon entière confiance. Il n'y a qu'eux qui la mérite. Les autres sont des lâches seulement intéressés par le plaisir immédiat et par se barrer après. J'en ai rien à foutre du plaisir immédiat. Je ne veux pas me barrer après. Ça n'a aucun intérêt.
Je veux les gestes. Je veux ces façons bizarres de tordre sa bouche ou de se mordre les lèvres. Je veux toutes ces façons différentes de se passer la main dans les cheveux. Je veux les regards gênés. Je veux les regards curieux. Je veux les regards joyeux et les regards tristes. Je veux les conversations absurdes et sans but. Je veux les conversations passionnantes. Je veux les anecdotes, les leçons de vie. Je veux les peines, les bonheurs, petits et grands. Je veux tout ce qui rend quelqu'un unique. Vraiment unique.
Je veux quelque chose de rare - ce qui, je le sais, me prive de beaucoup d'expérience. Au cinéma, je tente d'en vivre un maximum en voyant le plus de choses possible pour ne pas rater le film qui emportera mon coeur. Mais le cinéma est une expérience solitaire. Je me fiche de savoir ce que pense les autres. Ça m'intéresse mais il n'y a que mes émotions qui comptent.
Là, il n'y a pas que moi. En face, il y a quelqu'un. De réel. Pas Natalie Portman. Pas Zooey Deschanel. Quelqu'un avec une vie intérieure tellement dense, tellement magique que tous les fantasmes de cinéma qui ont un jour inondés vos yeux et votre coeur paraissent tout d'un coup bien fades. En face, il y a quelqu'un que j'avais imaginé, construit, années par années, dans mes rêves. J'imaginais ces yeux, cette bouche, cette façon de passer sa main dans ses cheveux. J'imaginais ce grand coeur, cette passion. J'imaginais ces petits trucs absurdes mais tellement craquants qui rendent les personnes à ce point unique. J'imaginais aussi ce sourire, ces manières gentiment spontanées, ce regard passant en un clin d'oeil d'une enivrante malice à une tendre mélancolie.
C'est tellement cliché de tomber amoureux au printemps. On se croirait dans un documentaire animalier.
Mais peu importe. En été, en hiver, en automne ou au printemps, c'est du pareil au même. Mon coeur fait boom une première fois et s'emballe en espérant que ce doux sentiment qui remplit ma tête ne soit pas totalement univoque. A ce moment là, il pourrait durer des années. Il pourrait durer toute une vie. Ce sentiment est si doux, si enivrant, si entêtant que je m'en suis (presque) toujours contenté. Il paraît que je suis amoureux de l'amour. C'est vrai : je le suis.
Mais cette fois c'est différent. Car elle a beau s'être construite dans mes rêves, le jour où j'ai découvert sa vie intérieure elle en est sortie. Pour de bon. Le sentiment est devenu réel. Il n'existe plus que dans ma tête.
La réalité a ce défaut qu'elle est profondément angoissante. La fiction est plus douce. Ça me rend triste mais je ne veux plus me laisser berner. C'est pour mon bien. Je n'ai plus 15 ans. Je veux le vivre, je veux l'affronter, je veux regarder ce sentiment en face - aussi douloureux soit-il au final. Je veux juste le partager. Parce qu'il est beau. Mais surtout parce qu'elle est belle. Pas parce qu'elle est belle sur papier glacé. Parce qu'elle est belle, tout simplement.
Elle me manque et ces chansons sont pour elle, en attendant de croiser son regard à nouveau et l'entendre me raconter les choses qui traversent sa tête et son coeur...
1. Johann Johannsson - And In The Endless Pause There Came The Sound Of Bees (Theme)
2. Titiyo - Longing For Lullabies
3. Ludovico Einaudi - Fuori Dal Mondo
4. Aimee Mann - Wise Up
5. Kelli Ali - The Kiss
6. Twin Sister - Lady Daydream (Blackbird Remix)
7. Air - Cherry Blossom Girl
8. George Delerue - Une Petite île
9. Dear Euphoria - Something Great
10. Ludovico Einaudi - Dietro Casa
11. Eisley - Ambulance
12. Sigur Ros - Samskeyti (Accoustic)
13. Thom & Nackt - Where I End And I Begin
14. Vangelis - La Petite Fille de la Mer
Je ne me laisse jamais avoir par les jolis yeux, les visages symétriques, les corps minces ou voluptueux, ce qui est censé rendre une personne "belle" dans un monde de papier glacé, ce qui est censé rendre mon coeur tout mou. Je les regarde, ça m'intéresse (forcément) mais ils ne représentent qu'une petite partie de l'équation. Ces "jolies filles", j'en croise (comme tout le monde) des centaines par jour et j'en fais pas tout un plat. Je ne crois pas au coup de foudre. L'équation serait plus facile à résoudre dans ces cas-là et mon coeur lâcherait plus souvent. A 15 ans, j'avais envie d'y croire mais à 30 ça deviendrait franchement pathétique. (Déjà, là...) La beauté n'est pas une question de visage symétrique...
Ce qui compte, c'est la vie intérieure, la façon de penser, la façon de parler, ces petites mimiques, ces regards, ces gestes qui font une personne. Ce qui compte, ce sont toutes ces choses, petites et grandes, qui vous font penser, comme ça, rapidement ou non, que cette fille, en face de vous, est différente des autres. A ce moment là, ce n'est pas vos yeux ou vos couilles qui ressentent, c'est votre coeur et votre cerveau. A ce moment là (et après), c'est à eux que je donne mon entière confiance. Il n'y a qu'eux qui la mérite. Les autres sont des lâches seulement intéressés par le plaisir immédiat et par se barrer après. J'en ai rien à foutre du plaisir immédiat. Je ne veux pas me barrer après. Ça n'a aucun intérêt.
Je veux les gestes. Je veux ces façons bizarres de tordre sa bouche ou de se mordre les lèvres. Je veux toutes ces façons différentes de se passer la main dans les cheveux. Je veux les regards gênés. Je veux les regards curieux. Je veux les regards joyeux et les regards tristes. Je veux les conversations absurdes et sans but. Je veux les conversations passionnantes. Je veux les anecdotes, les leçons de vie. Je veux les peines, les bonheurs, petits et grands. Je veux tout ce qui rend quelqu'un unique. Vraiment unique.
Je veux quelque chose de rare - ce qui, je le sais, me prive de beaucoup d'expérience. Au cinéma, je tente d'en vivre un maximum en voyant le plus de choses possible pour ne pas rater le film qui emportera mon coeur. Mais le cinéma est une expérience solitaire. Je me fiche de savoir ce que pense les autres. Ça m'intéresse mais il n'y a que mes émotions qui comptent.
Là, il n'y a pas que moi. En face, il y a quelqu'un. De réel. Pas Natalie Portman. Pas Zooey Deschanel. Quelqu'un avec une vie intérieure tellement dense, tellement magique que tous les fantasmes de cinéma qui ont un jour inondés vos yeux et votre coeur paraissent tout d'un coup bien fades. En face, il y a quelqu'un que j'avais imaginé, construit, années par années, dans mes rêves. J'imaginais ces yeux, cette bouche, cette façon de passer sa main dans ses cheveux. J'imaginais ce grand coeur, cette passion. J'imaginais ces petits trucs absurdes mais tellement craquants qui rendent les personnes à ce point unique. J'imaginais aussi ce sourire, ces manières gentiment spontanées, ce regard passant en un clin d'oeil d'une enivrante malice à une tendre mélancolie.
C'est tellement cliché de tomber amoureux au printemps. On se croirait dans un documentaire animalier.
Mais peu importe. En été, en hiver, en automne ou au printemps, c'est du pareil au même. Mon coeur fait boom une première fois et s'emballe en espérant que ce doux sentiment qui remplit ma tête ne soit pas totalement univoque. A ce moment là, il pourrait durer des années. Il pourrait durer toute une vie. Ce sentiment est si doux, si enivrant, si entêtant que je m'en suis (presque) toujours contenté. Il paraît que je suis amoureux de l'amour. C'est vrai : je le suis.
Mais cette fois c'est différent. Car elle a beau s'être construite dans mes rêves, le jour où j'ai découvert sa vie intérieure elle en est sortie. Pour de bon. Le sentiment est devenu réel. Il n'existe plus que dans ma tête.
La réalité a ce défaut qu'elle est profondément angoissante. La fiction est plus douce. Ça me rend triste mais je ne veux plus me laisser berner. C'est pour mon bien. Je n'ai plus 15 ans. Je veux le vivre, je veux l'affronter, je veux regarder ce sentiment en face - aussi douloureux soit-il au final. Je veux juste le partager. Parce qu'il est beau. Mais surtout parce qu'elle est belle. Pas parce qu'elle est belle sur papier glacé. Parce qu'elle est belle, tout simplement.
Elle me manque et ces chansons sont pour elle, en attendant de croiser son regard à nouveau et l'entendre me raconter les choses qui traversent sa tête et son coeur...
1. Johann Johannsson - And In The Endless Pause There Came The Sound Of Bees (Theme)
2. Titiyo - Longing For Lullabies
3. Ludovico Einaudi - Fuori Dal Mondo
4. Aimee Mann - Wise Up
5. Kelli Ali - The Kiss
6. Twin Sister - Lady Daydream (Blackbird Remix)
7. Air - Cherry Blossom Girl
8. George Delerue - Une Petite île
9. Dear Euphoria - Something Great
10. Ludovico Einaudi - Dietro Casa
11. Eisley - Ambulance
12. Sigur Ros - Samskeyti (Accoustic)
13. Thom & Nackt - Where I End And I Begin
14. Vangelis - La Petite Fille de la Mer
06 mai 2011
10 façons d'être tué par Jason Statham
Les années 80 ont eu Steven Seagal. Les années 2000 ont eu Jason Statham. Comme son illustre prédecesseur, l'anglais est devenu en une poignée de films la bombe nucléaire du cinéma d'action moderne et post-moderne (voir CRANK 2 pour comprendre), un meurtrier de masse éradiquant ses ennemis avec une efficacité et une rapidité jusque là inconnues. Si vous croisez son chemin, autant dire que votre bien-être physique dépend en grande partie de la bienséance de votre comportement avec sa douce et de votre obligeance à lui cirer les pompes avec votre langue.
Sinon, voici ce qui peut vous attendre...
10. Le stab-sabre
Statham vous casse le bras pour poignarder votre collègue avec votre propre sabre puis récupère le sabre pour vous couper la tête (ROGUE)
9. L'empaleur électrique
Statham vous empale avec un cable électrique (CRANK)
8. Le tout feu tout flamme
Statham balance du napalm sur votre voiture. (DEATH RACE)
7. Les ciseaux volants
Statham passe par le pare-brise de votre camion, saisit votre cou avec ses chevilles et vous ejecte du camion lancé à pleine vitesse (LE TRANSPORTEUR)
6. Le ménage à trois
Statham vous frappe dans le dos, vous casse le bras et vous maintient pour que Jet Li puisse vous briser le cou avec son pied (THE EXPENDABLES)
5. Le check-up
Statham se saisit de vos couilles, sert un grand coup et vous enfonce une aiguille dans le cou (CRANK)
4. Le suicide assisté
Statham vous arrache la main qui tient un revolver et l'utilise pour vous tirer dans la tête (CRANK)
3. La Beckham (encore appelé Le Coup franc ou le Droit au but)
Statham vous arrache la tête, vous crache dessus et l'envoie direct dans la piscine par la grâce d'un coup de pied magique (CRANK 2)
2. La dernière embrassade
Statham vous brise le cou alors que vous êtes en chute libre en aller-simple vers la mort (CRANK)
1. Le regard
Statham vous regarde dans les yeux si intensément que vous finissez par vous tirer une balle dans le caisson (REVOLVER)
Sinon, voici ce qui peut vous attendre...
10. Le stab-sabre
Statham vous casse le bras pour poignarder votre collègue avec votre propre sabre puis récupère le sabre pour vous couper la tête (ROGUE)
9. L'empaleur électrique
Statham vous empale avec un cable électrique (CRANK)
8. Le tout feu tout flamme
Statham balance du napalm sur votre voiture. (DEATH RACE)
7. Les ciseaux volants
Statham passe par le pare-brise de votre camion, saisit votre cou avec ses chevilles et vous ejecte du camion lancé à pleine vitesse (LE TRANSPORTEUR)
6. Le ménage à trois
Statham vous frappe dans le dos, vous casse le bras et vous maintient pour que Jet Li puisse vous briser le cou avec son pied (THE EXPENDABLES)
5. Le check-up
Statham se saisit de vos couilles, sert un grand coup et vous enfonce une aiguille dans le cou (CRANK)
4. Le suicide assisté
Statham vous arrache la main qui tient un revolver et l'utilise pour vous tirer dans la tête (CRANK)
3. La Beckham (encore appelé Le Coup franc ou le Droit au but)
Statham vous arrache la tête, vous crache dessus et l'envoie direct dans la piscine par la grâce d'un coup de pied magique (CRANK 2)
2. La dernière embrassade
Statham vous brise le cou alors que vous êtes en chute libre en aller-simple vers la mort (CRANK)
1. Le regard
Statham vous regarde dans les yeux si intensément que vous finissez par vous tirer une balle dans le caisson (REVOLVER)
02 mai 2011
Les 99 (faux) problèmes de Jay-Z
J'écoutais récemment le "99 Problems" de Jay-Z. Oui, je suis assez hardcore en ce moment comme mec. Et en mec bien hardcore, je notais à quel point ce titre est un peu une arnaque. Car des problèmes, Jay-Z, il n'en a pas vraiment 99. En déconstruisant les paroles du morceau comme un membre du jury de Top Chef, on se rend compte qu'il n'en a juste qu'une petite dizaine et ils sont très inégaux. Un mec comme Bruce Willis, dans n'importe lequel de ses films, a des problèmes beaucoup plus graves. Et lui, ils n'en fait pas une chanson... (en même temps, prévenez-moi quand un rappeur se mettra à sauver le monde, cela vaudra définitivement que quelqu'un en fasse un film... Ou disons juste un sketch...)
1. "Foes that wanna make sure my casket's closed"
Des ennemis publics, Jay-Z en a eu quelques uns au cours des années. A vrai dire, ce mec est un aimant à conflit. Nas, Mobb Deep, The Game, Beanie Segel, 50 Cent, MC Hammer, Noel Gallagher de Oasis, 2Pac. Bon, OK, 2Pac, c'est pas lui qui va refermer le cerceuil de Jay mais quand même, on peut sérieusement penser que ce problème est son problème n°1. C'est pas sain d'avoir autant d'ennemis sur le dos.
2. "You grew up with holes in ya zapatos"
C'est sûr qu'avoir des trous dans ces chaussures quand on est gosse, c'est pas cool. Ce qui est encore moins cool, c'est d'avoir un problème de langue et commencer à mélanger l'anglais et l'espagnol. Jean-Claude Van Damme s'est ridiculisé pour moins que ça...
3. "I go trapped in the kit kat again. Back through the system with the riff raff again"
D'après l'interweb, "kit kat" est du slang pour dire "voiture de police". Comment en est-on venu à appeler une voiture par le nom d'une barre chocolatée ? Cela restera sûrement à jamais aussi mystérieux que la signification profonde d'un clip de Lady Gaga. Reste que cela peut être interprété comme un très sérieux problème pour Jay. Imaginez, maintenant qu'il mène la grande vie de millionnaire, il n'a pas vraiment envie de se retrouver sur le siège arrière d'une caisse dégueu de flics pour ensuite finir la nuit dans une minuscule cellule entouré de gens du peuple. Après tout, combien d'entre eux pourraient se vanter de s'être tapé une ancienne membre des Destiny's Child ? Franchement, pas plus de 5 ou 6... Vous imaginez !
4. "Paparazzi's with they cameras snappin"
C'est définitivement un problème. Si un paparazzi se mettait à photographier son entre-jambe ou un petit bidon qui laisserait supposer qu'un polichinelle est dans le tiroir, ce serait vraiment dramatique pour sa street cred'.
5. "D.A. tried to give the nigga shaft again. Half-a-mil for bail cause I'm African"
Je suis sûr qu'un mec comme Jay-Z, qui a du vendre cinquante trillions de disques dans le monde, doit bien galérer à sortir 500 000 dollars de son porte-monnaie en or. Sarcasme excepté, c'est vrai qu'avec les limites des distributeurs, 500 000 dollars, ça doit être coton à retirer. Quant au procureur, étonnant qu'il soit un problème pour Jay qui, quelques années auparavant, se vantait de posséder la ville ("The City is Mine")
6. "Rap critics they say he's "Money Cash Hoes". I'm from the hood stupid, what type of facts are those"
Non mais c'est vrai, qu'est-ce que c'est que ces arguments? Jay vient du ghetto donc il doit absolument parler d'argent et être misogyne. Ces critiques, toujours à critiquer... Ils pourraient réfléchir un peu. Ce serait comme critiquer Lil Wayne et son vieux crew de s'appeler Cash Money Millionaires. C'est redondant !
7. "Understand the intelligence that Jay-Z has"
C'est toujours tellement frustrant de ne pas voir son intelligence reconnue. Mais doit-on vraiment s'en vouloir ? Après tout, l'homme a fait son succès sur un morceau reprenant "Hard Knock Life" de ANNIE. Possible que par intelligence, Jay veuille plutôt signifier qu'il s'y connaît vraiment (beaucoup) en comédie musicale - car, c'est connu, les gens confondent souvent les deux.
8. "In my rear view mirror is the mother fuckin' law (...) Doing fifty-five in a fifty-fo"
Bienvenue dans le monde de Jay-Z, le seul monde qui possède des zones où la vitesse est limitée à 54 miles par heure. Ca doit être un truc genre "Le Prisonnier" ou "Shangri-La"
9. "Rap mags try and use my black ass"
Ça, c'est un problème bizarre. En fait, je n'arrive pas à comprendre en quoi c'est un problème pour lui. Il pose pour la couverture d'un magazine en se prenant pour un caïd. Ça vend du papier à la tonne. Ça lui fait de la pub. Ça fait de la pub pour le magazine. Tout le monde est content. A moins que... A moins qu'un journaliste mâle et peu informé sur le statut "marital" de Jay ait tenté de faire tomber son stylo...
10. "I got beef with radio if i don't play they show. They don't play my hits"
Pauvre bichon... Il doit faire des interviews pour qu'on passe ses chansons (déjà vendues à 50 trillions d'exemplaires) à la radio.
1. "Foes that wanna make sure my casket's closed"
Des ennemis publics, Jay-Z en a eu quelques uns au cours des années. A vrai dire, ce mec est un aimant à conflit. Nas, Mobb Deep, The Game, Beanie Segel, 50 Cent, MC Hammer, Noel Gallagher de Oasis, 2Pac. Bon, OK, 2Pac, c'est pas lui qui va refermer le cerceuil de Jay mais quand même, on peut sérieusement penser que ce problème est son problème n°1. C'est pas sain d'avoir autant d'ennemis sur le dos.
2. "You grew up with holes in ya zapatos"
C'est sûr qu'avoir des trous dans ces chaussures quand on est gosse, c'est pas cool. Ce qui est encore moins cool, c'est d'avoir un problème de langue et commencer à mélanger l'anglais et l'espagnol. Jean-Claude Van Damme s'est ridiculisé pour moins que ça...
3. "I go trapped in the kit kat again. Back through the system with the riff raff again"
D'après l'interweb, "kit kat" est du slang pour dire "voiture de police". Comment en est-on venu à appeler une voiture par le nom d'une barre chocolatée ? Cela restera sûrement à jamais aussi mystérieux que la signification profonde d'un clip de Lady Gaga. Reste que cela peut être interprété comme un très sérieux problème pour Jay. Imaginez, maintenant qu'il mène la grande vie de millionnaire, il n'a pas vraiment envie de se retrouver sur le siège arrière d'une caisse dégueu de flics pour ensuite finir la nuit dans une minuscule cellule entouré de gens du peuple. Après tout, combien d'entre eux pourraient se vanter de s'être tapé une ancienne membre des Destiny's Child ? Franchement, pas plus de 5 ou 6... Vous imaginez !
4. "Paparazzi's with they cameras snappin"
C'est définitivement un problème. Si un paparazzi se mettait à photographier son entre-jambe ou un petit bidon qui laisserait supposer qu'un polichinelle est dans le tiroir, ce serait vraiment dramatique pour sa street cred'.
5. "D.A. tried to give the nigga shaft again. Half-a-mil for bail cause I'm African"
Je suis sûr qu'un mec comme Jay-Z, qui a du vendre cinquante trillions de disques dans le monde, doit bien galérer à sortir 500 000 dollars de son porte-monnaie en or. Sarcasme excepté, c'est vrai qu'avec les limites des distributeurs, 500 000 dollars, ça doit être coton à retirer. Quant au procureur, étonnant qu'il soit un problème pour Jay qui, quelques années auparavant, se vantait de posséder la ville ("The City is Mine")
6. "Rap critics they say he's "Money Cash Hoes". I'm from the hood stupid, what type of facts are those"
Non mais c'est vrai, qu'est-ce que c'est que ces arguments? Jay vient du ghetto donc il doit absolument parler d'argent et être misogyne. Ces critiques, toujours à critiquer... Ils pourraient réfléchir un peu. Ce serait comme critiquer Lil Wayne et son vieux crew de s'appeler Cash Money Millionaires. C'est redondant !
7. "Understand the intelligence that Jay-Z has"
C'est toujours tellement frustrant de ne pas voir son intelligence reconnue. Mais doit-on vraiment s'en vouloir ? Après tout, l'homme a fait son succès sur un morceau reprenant "Hard Knock Life" de ANNIE. Possible que par intelligence, Jay veuille plutôt signifier qu'il s'y connaît vraiment (beaucoup) en comédie musicale - car, c'est connu, les gens confondent souvent les deux.
8. "In my rear view mirror is the mother fuckin' law (...) Doing fifty-five in a fifty-fo"
Bienvenue dans le monde de Jay-Z, le seul monde qui possède des zones où la vitesse est limitée à 54 miles par heure. Ca doit être un truc genre "Le Prisonnier" ou "Shangri-La"
9. "Rap mags try and use my black ass"
Ça, c'est un problème bizarre. En fait, je n'arrive pas à comprendre en quoi c'est un problème pour lui. Il pose pour la couverture d'un magazine en se prenant pour un caïd. Ça vend du papier à la tonne. Ça lui fait de la pub. Ça fait de la pub pour le magazine. Tout le monde est content. A moins que... A moins qu'un journaliste mâle et peu informé sur le statut "marital" de Jay ait tenté de faire tomber son stylo...
10. "I got beef with radio if i don't play they show. They don't play my hits"
Pauvre bichon... Il doit faire des interviews pour qu'on passe ses chansons (déjà vendues à 50 trillions d'exemplaires) à la radio.
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