Nous allons bientôt fêter un anniversaire que certains préféreraient oublier. Cet anniversaire, c'est les deux ans de la sortie du premier single de Justin Bieber, "One Time". Deux années durant lesquelles il s'en sera passé des choses. Un million d'exemplaires vendus aux Etats-Unis, six singles (dont "Baby" vendus à 2 millions d'exemplaires aux Etats-Unis), un album, un biopic documentaire (!) et une petite amie célèbre plus tard, le minet à mèche fait toujours autant mouillé la culotte des adolescentes pré-pubères.
Mais il n'y a bien que d'elles. Au mieux le Bieb' vous indiffère profondément. Au pire, vous avez juste envie de lui défoncer son crâne de minet. Mais c'est l'ordre des choses : les vingtenaires et trentenaires ont toujours envie de défoncer la gueule des minets de 16 ans - célèbre ou pas, tout simplement parce qu'ils leur rappellent Kevin, 15 ans et demi, qui était le seul de la classe à ne pas avoir d'acné et par conséquent avait toutes les filles à ses pieds. Et ce genre de souvenirs est toujours très douloureux...
Mais l'idée même de cet anniversaire m'a fait penser à quelqu’un. Il m'a fait penser à Jason Donovan. L'idole de mes jeunes années. Il ne me faisait pas mouiller mon slip mais, comme toute bonne idole des jeunes, a rempli mes oreilles de pré-ado boutonneux de plaisir - même si le bon ton musical de l'époque aurait voulu que j'écoute, par exemple, le premier album de Nirvana, "Bleach" ou celui des Stone Roses. Car à 11 ans, vous n'en avez pas grand chose à carrer des arrangements, de la critique et du bon goût. Ce qui sonne bien à vos oreilles est largement suffisant. Entre "Too Many Broken Hearts" et "I Wanna Be Adored", il ne faut pas chercher très loin ce qui va plaire à un garçon pas encore sorti de l'enfance. Et ceux qui diront qu'ils étaient fans du groupe de Ian Brown à 11 ans sont juste des menteurs. Donc quelque part, je les comprends toutes ces adolescentes. J'ai du mal à comprendre l'hystérie mais l'engouement je le comprends - même si, en toute objectivité totalement partiale, "Especially For You" avec Kylie Minogue était vachement mieux que cette saleté auditive qu'est "Baby" !
Mais cet anniversaire m'a surtout fait penser aux trois années que dura l'heure de gloire du blondinet australien. Entre 1988-1991, il y a eu certes 13 singles dont 4 n°1 en Angleterre et deux albums vendus à plusieurs millions d'exemplaires mais tout le reste n'est que flops, tentatives de come-back, drogues et émission de télé-réalité. Et là, vous comprenez où je veux en venir...
Plus qu'un an !
C'est ce que j'ai voulu vérifier. D'après l'expérience des illustres aînés du Bieb', j'ai voulu voir combien de temps, en moyenne, les teen stars mâles de la pop (des années 90 à maintenant) restaient des idoles des jeunes et surtout combien de temps le monde doit se les coltiner (à haute dose) après leur début.
New Kids On The Block
Leur premier album éponyme est un énorme flop en 1986. Ce n'est que deux ans plus tard que le groupe explose à la faveur du hit "You Got It (The Right Stuff)" et de l'album "Hangin Tough" qui se vend à plus de 16 millions d'exemplaires dans le monde. Suivra en 1990 l'album "Step By Step" vendu à 20 millions d'exemplaires. Autant dire que les New Kids, entre 1988 et 1990, vous en entendiez beaucoup parler. Le cri des adolescentes en blousons en jean résonnent encore dans certains mall de l'Amérique. Avec leurs 40 millions d'albums, leurs T-shirts, leurs oreillers, leurs poupées, leus comic books ou leur dessin animé, les New Kids font passer le Bieb', avec ses 2 millions d'albums et son biopic, pour le loser de la bande. SI vous aviez entre 10 et 15 ans à cette époque, il est possible qu'elle vous apparaisse avoir durée des siècles. Après tout, en deux ans les New Kids ont sorti 12 singles alors que le Bieb', sur la même période de temps, en a sorti moitié moins (d'où le côté très énervant d'entendre toujours la même chanson). Mais tout ça a été très éphémère, les New Kids ayant été balayé du paysage pop mondial dès 1991 quand le grunge puis le gangsta rap sont devenus les musiques dominantes de la population acnéïque. Résultat : 2,5 ans.
Hanson
Avec leur pop-rock teen post-grunge, les frères Hanson, après deux albums sortis en indépendant, ont atteint le succès à l'été 1997 avec la sortie de leur album "MIddle of Nowhere" qui se vend à 10 millions d'exemplaires dans le monde grâce, notamment, à l'imparable single MMMBop, une des chansons les plus jouée des années 90 (un sketch du Saturday Night Live les montre même pris en otage par Helen Hunt et Will Ferrell voulant les forcer à écouter leur propre chanson encore et encore). Mais ça n'ira pas beaucoup plus loin - même si le groupe continue encore aujourd'hui à enregistrer et à sortir des albums. Les 5 singles de l'album auront suffit à enterrer le groupe qui a clairement souffert d'une sur-exposition médiatique sur une courte durée et surtout d'un manque d'intérêt de leur maison de disques qui ne souhaitait clairement faire qu'un coup marketing avec des blondinets à cheveux longs. Résultat : 1 an
Backstreet Boys
Après une période d'essai en Europe durant l'année 1996 où ils vendent 11 millions d'exemplaires de leur premier album, le boys band de Floride revient au pays pour en vendre 14 millions. Le rap gansta est en fin de vie dans les charts et le grunge est mort. Fini les chemises en flanelle et les jeans troués, place aux chemises flashy ouvertes sur des corps pré-pubères. La deuxième moitié des années 90 est celle des boys band. Sorti l'année suivante, le deuxième album des Backstreet fait donc jeu égal avec le premier. Le troisième "Millenium", sorti en 1999, double même la mise avec ses 40 millions de ventes. Autant dire que ce que vous subissez aujourd'hui avec le Bieb', c'est de la gnognote. "Black & Blue", leur album de 2000, cumule lui-aussi à 24 millions. Vous avez fait les comptes ? 111 millions d'albums vendus entre 1996 et 2001 ! Résultat : 5 ans
Jesse McCartney
Si l'on compte ses années dans le groupe Dream Street et ses années solo, le blondinet a sorti quatre albums qui se sont vendus correctement. Mais ce n'est strictement rien comparé à Bieber et donc aux autres pré-cités. Il a eu un gros hit "Beautiful Soul" en 2004 mais même avec ça, il n'a jamais ameuté d'énormes cohortes de fans à appareils dentaires. Pire encore, il n'a jamais réellement connu le succès hors de son pays natal. Résultat : 0,5 ans
N Sync
Forcément, les amis Backstreet Boys, avec leurs affolants chiffres de ventes, ont fait des émules dans la deuxième parties des années 2000 parmi les producteurs à gros cigares en recherche de jeunes garçons sans poils sur le torse. Ils ont alors trouvé chez Justin Timberlake, JC Chasez et ses copains les voix d'anges idéales pour former N Sync et chanter leurs pop songs sucrées qui feront mouiller la culotte des jeunes filles. Ils ne se sont pas trompés à l'exception d'une chose : "le reste du monde". N Sync a vendu 56 millions d'albums entre 1997 et 2002 mais la grande majorité dans les pays anglophones - leur plus gros hit mondial restant "Bye Bye Bye". Et avec la volonté de Justin de s'émanciper, le groupe n'a pas fait long feu. Résultat : 5 ans
Aaron Carter
Surfant sur la vague du succès de son frère, un des membres des Backstreet Boys, Aaron n'a que 10 ans quand il sort son premier album qui remporte un succès d'estime - surtout en Europe. Mais ses deux albums suivants cartonnent aux Etats-Unis et c'est bientôt les à peine pubères Lindsay Lohan et Hilary Duff qui se le disputent - sans compter les millions de fans qui hurlent son nom. Elles feront sa gloire au début des années 2000. Gloire des plus éphèmères : il fait désormais plus la une pour ses liaisons avec des playmates que pour ses prestations scéniques devant des fans hystériques. Résultat : 2 ans
Jonas Brothers
Après un premier album dans le registre pop chrétienne, les Jonas Brothers se sont "émancipés" sous le contrôle du Saint Mickey Mouse avec trois albums vendus à quelques petits millions d'exemplaires dans le monde. Largement de quoi faire hurler les fans quelques temps mais rien de vraiment transcendant, d'autant qu'avec leur anneau de pureté assez fièrement exhibé les jeunes filles n'ont pas beaucoup de quoi fantasmer. Résultat : 2 ans
En gros, ça vous fait une moyenne de 2,5 ans avec des raisons très diverses pour expliquer leur disparition de la scène médiatique et/ou musicale : la fin d'une mode et l'arrivée d'une nouvelle, disparition des joues roses, séparation. Mais une raison surpasse largement les autres : le vieillissement de la cible. Comme je le disais plus haut, passe encore d'écouter de la merde à 11 ans. Les seuls à vous le reprocher, c'est des trentenaires jaloux et aigris d'avoir perdu leur candeur d'antan et ne voulant pas avouer que c'est quand même vachement plus agréable d'écouter une mélodie bien putassière d'une pop star multimillionnaire que les expérimentations "adorées par la critique" d'un groupe de shoegaze qui crève la dalle dans son studio miteux de Brooklyn. Mais à 17 ans, la crise d'adolescence venue, avec le besoin de se différencier du commun des mortels, de faire partie d'une "bande", c'est une autre affaire. Avec l'âge, on ne veut plus écouter les mêmes merdes qu'avant. On devient rebelle, cynique et fans d'Arcade Fire. Peu importe que les minets à mèches pré-pubères vieillissent avec vous, ils nous intéressent plus. Et ils disparaissent... A moins d'être Justin Timberlake et gagner des points de street cred' en mettant à poils une star du R&B vieillissante devant des milliards de téléspectateurs ! Mais ça, c'est une autre histoire...
Mais il n'y a bien que d'elles. Au mieux le Bieb' vous indiffère profondément. Au pire, vous avez juste envie de lui défoncer son crâne de minet. Mais c'est l'ordre des choses : les vingtenaires et trentenaires ont toujours envie de défoncer la gueule des minets de 16 ans - célèbre ou pas, tout simplement parce qu'ils leur rappellent Kevin, 15 ans et demi, qui était le seul de la classe à ne pas avoir d'acné et par conséquent avait toutes les filles à ses pieds. Et ce genre de souvenirs est toujours très douloureux...
Mais l'idée même de cet anniversaire m'a fait penser à quelqu’un. Il m'a fait penser à Jason Donovan. L'idole de mes jeunes années. Il ne me faisait pas mouiller mon slip mais, comme toute bonne idole des jeunes, a rempli mes oreilles de pré-ado boutonneux de plaisir - même si le bon ton musical de l'époque aurait voulu que j'écoute, par exemple, le premier album de Nirvana, "Bleach" ou celui des Stone Roses. Car à 11 ans, vous n'en avez pas grand chose à carrer des arrangements, de la critique et du bon goût. Ce qui sonne bien à vos oreilles est largement suffisant. Entre "Too Many Broken Hearts" et "I Wanna Be Adored", il ne faut pas chercher très loin ce qui va plaire à un garçon pas encore sorti de l'enfance. Et ceux qui diront qu'ils étaient fans du groupe de Ian Brown à 11 ans sont juste des menteurs. Donc quelque part, je les comprends toutes ces adolescentes. J'ai du mal à comprendre l'hystérie mais l'engouement je le comprends - même si, en toute objectivité totalement partiale, "Especially For You" avec Kylie Minogue était vachement mieux que cette saleté auditive qu'est "Baby" !
Mais cet anniversaire m'a surtout fait penser aux trois années que dura l'heure de gloire du blondinet australien. Entre 1988-1991, il y a eu certes 13 singles dont 4 n°1 en Angleterre et deux albums vendus à plusieurs millions d'exemplaires mais tout le reste n'est que flops, tentatives de come-back, drogues et émission de télé-réalité. Et là, vous comprenez où je veux en venir...
Plus qu'un an !
C'est ce que j'ai voulu vérifier. D'après l'expérience des illustres aînés du Bieb', j'ai voulu voir combien de temps, en moyenne, les teen stars mâles de la pop (des années 90 à maintenant) restaient des idoles des jeunes et surtout combien de temps le monde doit se les coltiner (à haute dose) après leur début.
New Kids On The Block
Leur premier album éponyme est un énorme flop en 1986. Ce n'est que deux ans plus tard que le groupe explose à la faveur du hit "You Got It (The Right Stuff)" et de l'album "Hangin Tough" qui se vend à plus de 16 millions d'exemplaires dans le monde. Suivra en 1990 l'album "Step By Step" vendu à 20 millions d'exemplaires. Autant dire que les New Kids, entre 1988 et 1990, vous en entendiez beaucoup parler. Le cri des adolescentes en blousons en jean résonnent encore dans certains mall de l'Amérique. Avec leurs 40 millions d'albums, leurs T-shirts, leurs oreillers, leurs poupées, leus comic books ou leur dessin animé, les New Kids font passer le Bieb', avec ses 2 millions d'albums et son biopic, pour le loser de la bande. SI vous aviez entre 10 et 15 ans à cette époque, il est possible qu'elle vous apparaisse avoir durée des siècles. Après tout, en deux ans les New Kids ont sorti 12 singles alors que le Bieb', sur la même période de temps, en a sorti moitié moins (d'où le côté très énervant d'entendre toujours la même chanson). Mais tout ça a été très éphémère, les New Kids ayant été balayé du paysage pop mondial dès 1991 quand le grunge puis le gangsta rap sont devenus les musiques dominantes de la population acnéïque. Résultat : 2,5 ans.
Hanson
Avec leur pop-rock teen post-grunge, les frères Hanson, après deux albums sortis en indépendant, ont atteint le succès à l'été 1997 avec la sortie de leur album "MIddle of Nowhere" qui se vend à 10 millions d'exemplaires dans le monde grâce, notamment, à l'imparable single MMMBop, une des chansons les plus jouée des années 90 (un sketch du Saturday Night Live les montre même pris en otage par Helen Hunt et Will Ferrell voulant les forcer à écouter leur propre chanson encore et encore). Mais ça n'ira pas beaucoup plus loin - même si le groupe continue encore aujourd'hui à enregistrer et à sortir des albums. Les 5 singles de l'album auront suffit à enterrer le groupe qui a clairement souffert d'une sur-exposition médiatique sur une courte durée et surtout d'un manque d'intérêt de leur maison de disques qui ne souhaitait clairement faire qu'un coup marketing avec des blondinets à cheveux longs. Résultat : 1 an
Backstreet Boys
Après une période d'essai en Europe durant l'année 1996 où ils vendent 11 millions d'exemplaires de leur premier album, le boys band de Floride revient au pays pour en vendre 14 millions. Le rap gansta est en fin de vie dans les charts et le grunge est mort. Fini les chemises en flanelle et les jeans troués, place aux chemises flashy ouvertes sur des corps pré-pubères. La deuxième moitié des années 90 est celle des boys band. Sorti l'année suivante, le deuxième album des Backstreet fait donc jeu égal avec le premier. Le troisième "Millenium", sorti en 1999, double même la mise avec ses 40 millions de ventes. Autant dire que ce que vous subissez aujourd'hui avec le Bieb', c'est de la gnognote. "Black & Blue", leur album de 2000, cumule lui-aussi à 24 millions. Vous avez fait les comptes ? 111 millions d'albums vendus entre 1996 et 2001 ! Résultat : 5 ans
Jesse McCartney
Si l'on compte ses années dans le groupe Dream Street et ses années solo, le blondinet a sorti quatre albums qui se sont vendus correctement. Mais ce n'est strictement rien comparé à Bieber et donc aux autres pré-cités. Il a eu un gros hit "Beautiful Soul" en 2004 mais même avec ça, il n'a jamais ameuté d'énormes cohortes de fans à appareils dentaires. Pire encore, il n'a jamais réellement connu le succès hors de son pays natal. Résultat : 0,5 ans
N Sync
Forcément, les amis Backstreet Boys, avec leurs affolants chiffres de ventes, ont fait des émules dans la deuxième parties des années 2000 parmi les producteurs à gros cigares en recherche de jeunes garçons sans poils sur le torse. Ils ont alors trouvé chez Justin Timberlake, JC Chasez et ses copains les voix d'anges idéales pour former N Sync et chanter leurs pop songs sucrées qui feront mouiller la culotte des jeunes filles. Ils ne se sont pas trompés à l'exception d'une chose : "le reste du monde". N Sync a vendu 56 millions d'albums entre 1997 et 2002 mais la grande majorité dans les pays anglophones - leur plus gros hit mondial restant "Bye Bye Bye". Et avec la volonté de Justin de s'émanciper, le groupe n'a pas fait long feu. Résultat : 5 ans
Aaron Carter
Surfant sur la vague du succès de son frère, un des membres des Backstreet Boys, Aaron n'a que 10 ans quand il sort son premier album qui remporte un succès d'estime - surtout en Europe. Mais ses deux albums suivants cartonnent aux Etats-Unis et c'est bientôt les à peine pubères Lindsay Lohan et Hilary Duff qui se le disputent - sans compter les millions de fans qui hurlent son nom. Elles feront sa gloire au début des années 2000. Gloire des plus éphèmères : il fait désormais plus la une pour ses liaisons avec des playmates que pour ses prestations scéniques devant des fans hystériques. Résultat : 2 ans
Jonas Brothers
Après un premier album dans le registre pop chrétienne, les Jonas Brothers se sont "émancipés" sous le contrôle du Saint Mickey Mouse avec trois albums vendus à quelques petits millions d'exemplaires dans le monde. Largement de quoi faire hurler les fans quelques temps mais rien de vraiment transcendant, d'autant qu'avec leur anneau de pureté assez fièrement exhibé les jeunes filles n'ont pas beaucoup de quoi fantasmer. Résultat : 2 ans
En gros, ça vous fait une moyenne de 2,5 ans avec des raisons très diverses pour expliquer leur disparition de la scène médiatique et/ou musicale : la fin d'une mode et l'arrivée d'une nouvelle, disparition des joues roses, séparation. Mais une raison surpasse largement les autres : le vieillissement de la cible. Comme je le disais plus haut, passe encore d'écouter de la merde à 11 ans. Les seuls à vous le reprocher, c'est des trentenaires jaloux et aigris d'avoir perdu leur candeur d'antan et ne voulant pas avouer que c'est quand même vachement plus agréable d'écouter une mélodie bien putassière d'une pop star multimillionnaire que les expérimentations "adorées par la critique" d'un groupe de shoegaze qui crève la dalle dans son studio miteux de Brooklyn. Mais à 17 ans, la crise d'adolescence venue, avec le besoin de se différencier du commun des mortels, de faire partie d'une "bande", c'est une autre affaire. Avec l'âge, on ne veut plus écouter les mêmes merdes qu'avant. On devient rebelle, cynique et fans d'Arcade Fire. Peu importe que les minets à mèches pré-pubères vieillissent avec vous, ils nous intéressent plus. Et ils disparaissent... A moins d'être Justin Timberlake et gagner des points de street cred' en mettant à poils une star du R&B vieillissante devant des milliards de téléspectateurs ! Mais ça, c'est une autre histoire...
Je suis un cours à la fac sur les entreprises et institutions américaines en France et je dois rendre un dossier à ce propos en choississant une institution et en la présentant etc.. et surtout interviewer quelqu'un qui y travaille(ait), français ou américain. Je crois que tu avais travaillé chez 20th Century Fox (mais j'arrive plus à retrouver l'article où tu en parles!!) et il se trouve que j'adorerais faire un dossier sur une institution/entreprise de cinéma (et américaine qui plus est), donc je me demandais si tu accepterais que je t'envoie un questionnaire par mail?..
RépondreSupprimerVoilà, si tu n'as pas le temps ou quoi, c'est pas grave!
Sarah
PS : Je n'avais même pas réalisé que les Jonas Brothers c'était fini!
Bien sûr, envoie-moi ton questionnaire. Tu peux utiliser l'e-mail de la colonne de gauche. Mais ça fait un moment que j'en suis parti de la Fox, donc je ne sais pas si je pourrais répondre à tout ou le faire avec des infos très "récentes"...
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