Je dévoie un peu le principe de la rubrique. Mais n'ayez crainte, sa "philosophie" reste intacte. Cette chanson date en effet de 2009 et est donc bien trop récente pour avoir figuré dans mon fameux carnet de notes. Mais elle aurait pu y être.
Cette chanson, pourtant présente dans mon iPod depuis près de deux ans, je ne l'avais jamais vraiment écoutée. Deux, trois fois, comme ça. Mais sans jamais vraiment y porter attention. Puis arriva un dimanche comme les autres. Un dimanche au cinéma. Comme celui d'avant. Comme sûrement celui d'après.
Ce dimanche, c'est sur ONDINE de Neil Jordan (en salles depuis le 25 août) que mes yeux se posèrent. Le film raconte l'histoire d'amour entre un pêcheur irlandais et une "supposée" sirène. Un film magnifique qui laisse une grande place à la musique, notamment celle de Sigur Ros (dont le pianiste a composé la musique) mais également à celle de Lisa Hannigan, une chanteuse irlandaise connue jusqu'en 2007 pour avoir collaboré à presque toutes les chansons de Damien Rice, avec qui elle entretenait aussi une relation romantique.
Je dis "jusqu'en 2007" car la chanteuse, après une longue période de brouille, s'est fait virée du groupe de Rice seulement dix minutes avant le début d'un concert à Munich et a écrit cette chanson dans la foulée. Une situation des plus violentes qui transparaît à peine dans cette comptine guitare/voix. Juste une mélancolie d'abord teintée de tristesse et de désespoir dans les premiers couplets ("I went to war every morning, I lost my way, but now I'm following, what you said in my arms... what i read in the charms, that i loved durably, now it's dead and gone, and i am free...") puis gagnée par la lumière, la liberté, le calme et la quiétude ("we went out to play for the evening, and wanted to hold on to the feeling, and the stretch in the sun, and the breathlessness as we run, to the beach endlessly, as the sun creeps up on the sea...")
Cette chanson est belle.
Cette chanson, pourtant présente dans mon iPod depuis près de deux ans, je ne l'avais jamais vraiment écoutée. Deux, trois fois, comme ça. Mais sans jamais vraiment y porter attention. Puis arriva un dimanche comme les autres. Un dimanche au cinéma. Comme celui d'avant. Comme sûrement celui d'après.
Ce dimanche, c'est sur ONDINE de Neil Jordan (en salles depuis le 25 août) que mes yeux se posèrent. Le film raconte l'histoire d'amour entre un pêcheur irlandais et une "supposée" sirène. Un film magnifique qui laisse une grande place à la musique, notamment celle de Sigur Ros (dont le pianiste a composé la musique) mais également à celle de Lisa Hannigan, une chanteuse irlandaise connue jusqu'en 2007 pour avoir collaboré à presque toutes les chansons de Damien Rice, avec qui elle entretenait aussi une relation romantique.
Je dis "jusqu'en 2007" car la chanteuse, après une longue période de brouille, s'est fait virée du groupe de Rice seulement dix minutes avant le début d'un concert à Munich et a écrit cette chanson dans la foulée. Une situation des plus violentes qui transparaît à peine dans cette comptine guitare/voix. Juste une mélancolie d'abord teintée de tristesse et de désespoir dans les premiers couplets ("I went to war every morning, I lost my way, but now I'm following, what you said in my arms... what i read in the charms, that i loved durably, now it's dead and gone, and i am free...") puis gagnée par la lumière, la liberté, le calme et la quiétude ("we went out to play for the evening, and wanted to hold on to the feeling, and the stretch in the sun, and the breathlessness as we run, to the beach endlessly, as the sun creeps up on the sea...")
Cette chanson est belle.
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