CASINO ROYALE avait donné un grand coup de pieds aux fesses de la plus célèbre franchise du cinéma. QUANTUM OF SOLACE, toujours avec Daniel Craig dans le rôle de l'agent 007, confirme et enfonce le clou.
Désormais, finis les gadgets plus ou moins inspirés, finis les brushing aérodynamiques, finis les méchants d'opérettes, finis les décors et effets spéciaux kitsch. Le nouveau Bond a plus que jamais des allures de Jason Bourne, les costumes Prada et l'Aston Martin en plus.
Suite directe de CASINO ROYALE, QUANTUM OF SOLACE, en salles le 31 octobre, fait donc la part belle à une action brutale, où chaque cou fait mal, très mal. Et dans le genre, la scène d'ouverture, une poursuite en voiture en Italie, est une des plus ahurissantes de la saga. Filmé au plus près, cette scène vous cloue littéralement au siège !
Car, si Marc Forster (A L'OMBRE DE LA HAINE, NEVERLAND...) était jusque là plutôt considéré comme un metteur des émotions, il entre ici direct dans la catégorie "poids lourds" de l'action, tant sa mise en scène des scènes d'action est puissante, efficace et soignée. De ce point de vue là, c'est une véritable révélation, d'autant que les scènes de baston et de poursuite s'enchaînent à vitesse grand V!
Mais fidèle à sa réputation, Forster ne délaisse en rien ce qui fait le grand intérêt de ce nouveau Bond. En effet, on a laissé le personnage à la fin de CASINO ROYALE en pleine détresse suite à la mort de son seul et unique amour, Vesper (Eva Green). QUANTUM OF SOLACE est donc sa vengeance... Mais Bond n'est pas homme à laisser parler ses sentiments. On assiste donc à la quête mélancolique d'un tueur au sang froid. Et ça fait parfois froid dans le dos, tant son aptitude à tuer sans sourciller (voire à y prendre du plaisir) est glacial...
L'évidence du choix de Daniel Craig pour tenir le rôle de Bond apparaît donc là encore plus clairement, sa mâchoire carrée, son visage buriné et surtout ses yeux bleus glace faisant des miracles.
Bref, QUANTUM OF SOLACE est une réussite - à condition d'avoir vu (voire revu) CASINO ROYALE, sous peine de ne pas comprendre grand chose à ce qui se passe tant les références sont nombreuses.
Désormais, finis les gadgets plus ou moins inspirés, finis les brushing aérodynamiques, finis les méchants d'opérettes, finis les décors et effets spéciaux kitsch. Le nouveau Bond a plus que jamais des allures de Jason Bourne, les costumes Prada et l'Aston Martin en plus.
Suite directe de CASINO ROYALE, QUANTUM OF SOLACE, en salles le 31 octobre, fait donc la part belle à une action brutale, où chaque cou fait mal, très mal. Et dans le genre, la scène d'ouverture, une poursuite en voiture en Italie, est une des plus ahurissantes de la saga. Filmé au plus près, cette scène vous cloue littéralement au siège !
Car, si Marc Forster (A L'OMBRE DE LA HAINE, NEVERLAND...) était jusque là plutôt considéré comme un metteur des émotions, il entre ici direct dans la catégorie "poids lourds" de l'action, tant sa mise en scène des scènes d'action est puissante, efficace et soignée. De ce point de vue là, c'est une véritable révélation, d'autant que les scènes de baston et de poursuite s'enchaînent à vitesse grand V!
Mais fidèle à sa réputation, Forster ne délaisse en rien ce qui fait le grand intérêt de ce nouveau Bond. En effet, on a laissé le personnage à la fin de CASINO ROYALE en pleine détresse suite à la mort de son seul et unique amour, Vesper (Eva Green). QUANTUM OF SOLACE est donc sa vengeance... Mais Bond n'est pas homme à laisser parler ses sentiments. On assiste donc à la quête mélancolique d'un tueur au sang froid. Et ça fait parfois froid dans le dos, tant son aptitude à tuer sans sourciller (voire à y prendre du plaisir) est glacial...
L'évidence du choix de Daniel Craig pour tenir le rôle de Bond apparaît donc là encore plus clairement, sa mâchoire carrée, son visage buriné et surtout ses yeux bleus glace faisant des miracles.
Bref, QUANTUM OF SOLACE est une réussite - à condition d'avoir vu (voire revu) CASINO ROYALE, sous peine de ne pas comprendre grand chose à ce qui se passe tant les références sont nombreuses.
J'avais pas mal aimé Casino Royale (en fait c'est le premier James Bond que j'appréciais depuis... Sean Connery) et je compte bien connaître sa suite ;-)
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