Il y a un peu plus de 6 mois, les quelques secondes d'images d'un temoignage de jeunes gens confrontés à la destruction de New York par un monstre (encore) invisible déclenchaient une frénésie encore jamais vue sur le Net, dans les dîners et autres réunions de "geek" EN PUISSANCE!
Car pour une fois le phénomène ne se limite pas seulement aux seuls fans de cinéma fantastique à haute dose de fun (comme 300, l'autre buzz de 2007)... Tout le monde s'y intéresse. Tout le monde a envie de savoir. Tout le monde veut en voir plus. etc. La faute peut-être au génie JJ Abrams, grand spécialiste pour déchaîner les passions et faire surgir le "geekitude" de n'importe qui, y compris les plus hermetiques au cinéma de genre... Voir le phénomène LOST dont il est l'icône créatrice !
A l'époque, même les plus "geek" avaient à peine entendu parler de ce projet qui deviendra finalement CLOVERFIELD !
Et après plus de 6 mois d'attente, de découverte de sites internet bizarroïdes (what the hell was SLUSHO ?????) et d'images un peu plus mystérieuses et angoissantes, je l'ai vu, ce film, ce buzz, ce phénomène, cet ovni hollywoodien !!
Impossible de s'étendre. Obligation de peser ces mots sous peine de se faire trucider par un de ces nouveaux geek qui veut en voir toujours plus tout en souhaitant ne rien savoir...
Donc pour essayer de faire clair, CLOVERFIELD est un grand-huit de terreur pure et absolue. Pas un film qui vous fait sursauter sur votre siège ou vous dégoute par ses effets gore (quoique parfois !). CLOVERFIELD vous maintient, les mains moites, sur votre siège, les gouttes de sueur dégoulinant lentement sur votre front, à mesure que vous avancez dans le noir avec des personnages qui n'en savent pas plus que vous...
Parce que la grande force de CLOVERFIELD est de vous mettre dans la peau de ces jeunes trentenaires qui pourraient très bien être vous : ils parlent de leur jeune carrière, de leurs amours contrariés par cette même carrière naissante... ils parlent de culture pop, de sexe et de béguins etc.
C'est un peu comme si les personnages déjà très réalistes de la série FELICITY (créée par Abrams et le réalisateur du film Matt Reeves) se retrouvaient avec un monstre sanguinaire aux trousses !
L'autre force de CLOVERFIELD est d'installer la PEUR petit à petit, découvrant ce fameux monstre par intermittence, par petit bout, au fur et à mesure que les personnages le découvre eux-mêmes. Un monstre qui réserve par ailleurs des surprises carrément traumatisantes et angoissantes...
Pour une fois, le buzz n'est pas un soufflet qui se dégonfle aussi vite qu'il est apparu. Ce buzz là, il vous explose littéralement au visage !
Car pour une fois le phénomène ne se limite pas seulement aux seuls fans de cinéma fantastique à haute dose de fun (comme 300, l'autre buzz de 2007)... Tout le monde s'y intéresse. Tout le monde a envie de savoir. Tout le monde veut en voir plus. etc. La faute peut-être au génie JJ Abrams, grand spécialiste pour déchaîner les passions et faire surgir le "geekitude" de n'importe qui, y compris les plus hermetiques au cinéma de genre... Voir le phénomène LOST dont il est l'icône créatrice !
A l'époque, même les plus "geek" avaient à peine entendu parler de ce projet qui deviendra finalement CLOVERFIELD !
Et après plus de 6 mois d'attente, de découverte de sites internet bizarroïdes (what the hell was SLUSHO ?????) et d'images un peu plus mystérieuses et angoissantes, je l'ai vu, ce film, ce buzz, ce phénomène, cet ovni hollywoodien !!
Impossible de s'étendre. Obligation de peser ces mots sous peine de se faire trucider par un de ces nouveaux geek qui veut en voir toujours plus tout en souhaitant ne rien savoir...
Donc pour essayer de faire clair, CLOVERFIELD est un grand-huit de terreur pure et absolue. Pas un film qui vous fait sursauter sur votre siège ou vous dégoute par ses effets gore (quoique parfois !). CLOVERFIELD vous maintient, les mains moites, sur votre siège, les gouttes de sueur dégoulinant lentement sur votre front, à mesure que vous avancez dans le noir avec des personnages qui n'en savent pas plus que vous...
Parce que la grande force de CLOVERFIELD est de vous mettre dans la peau de ces jeunes trentenaires qui pourraient très bien être vous : ils parlent de leur jeune carrière, de leurs amours contrariés par cette même carrière naissante... ils parlent de culture pop, de sexe et de béguins etc.
C'est un peu comme si les personnages déjà très réalistes de la série FELICITY (créée par Abrams et le réalisateur du film Matt Reeves) se retrouvaient avec un monstre sanguinaire aux trousses !
L'autre force de CLOVERFIELD est d'installer la PEUR petit à petit, découvrant ce fameux monstre par intermittence, par petit bout, au fur et à mesure que les personnages le découvre eux-mêmes. Un monstre qui réserve par ailleurs des surprises carrément traumatisantes et angoissantes...
Pour une fois, le buzz n'est pas un soufflet qui se dégonfle aussi vite qu'il est apparu. Ce buzz là, il vous explose littéralement au visage !
Franchement tu me donnes envie de voir ce film, dès sa sortie je sens bien que je vais essayer de prendre le temps d'aller au cinéma c'est vrai quecela fait quelques mois que ce film me fait de l'oeil, j'ai découvert au fur et à mesure les trailers et je viens de découvrir la tête du monstre très impresionnante (et oui je n'ai pas pu m'en empêcher... d'ailleurs dans la vie je lis de temps en temps la fin de mes livres avant l'heure...). Le film a l'ai époustoufflant.
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